LE DARWINISME

 

singe

Le darwinisme

Croyances scientifiques du Moyen –Age

En raison des connaissances scientifiques primaires de l’époque, on supposait que la vie reposait sur une structure très simple.

...En effet, d’après la théorie de la génération spontanée, très populaire au Moyen Age, la vie pouvait naître à partir de matière inerte : on pensait alors que les grenouilles naissaient de la boue, et les insectes de la moisissure des aliments.

De curieuses expériences furent menées afin de prouver ces théories :

Des scientifiques déposaient par exemple une poignée de blé sur un chiffon et s’attendaient à voir des souris sortir des grains.

On se servit de l’exemple des vers sur la viande afin de prouver que la vie pouvait naitre d’une matière inerte. Bien plus tard, on comprit que ces vers provenaient des larves microscopiques laissées sur la viande par les mouches.

A l’époque de darwin, on était persuadé que les microbes pouvaient facilement émaner de matière inerte.

Réfutation par Louis Pasteur

Cinq ans après la publication de l’origine des espèces, le fameux livre de darwin, le célèbre biologiste français Louis Pasteur réfuta scientifiquement les mythes de l’évolution.

Après de nombreuses études et recherches, Pasteur aboutit à la conclusion suivante :

La matière peut-elle s’organiser seule ? Non. Aujourd’hui, on ne connait pas de circonstances à partir desquelles on puisse affirmer que des êtres microscopiques sont apparus en leur état sans parents.

Paléontologie

Au 20ème siècle, la théorie de l’évolution fut réfutée par la paléontologie, c’est-à-dire la science des fossiles.

En effet, nulle part à ce jour ont été déterrés des fragments de fossiles appuyant la thèse de l’évolution.

Les fossiles sont ce qu’il nous reste des êtres vivants du passé.

Certains spécimens, s’ils ont été rapidement isolés de l’air restent intacts. Ces restes sont de véritables mines d’informations pour l’histoire de la vie sur terre. En cela, les fossiles apportent des éléments de réponses aux questions posées sur les origines de la vie.

La théorie de l’évolution prétend que toutes les créatures vivantes descendent d’un ancêtre commun.

La diversité des espèces proviendrait de la succession de petits changements sur une très longue période.

Les premiers êtres vivants auraient été unicellulaires, puis en l’espace de centaines de millions d’années, ils se seraient transformés en invertébrés marins et en poissons.

Ces poissons auraient ensuite émergé de l’eau pour devenir des reptiles qui auraient plus tard donné des oiseaux et des mammifères.

Formes transitoires

Pourtant, si cette affirmation évolutionniste était vraie, alors les formes défectueuses, imparfaites, sous-développées, intermédiaires, illustrant ce processus imaginaire auraient dû exister par le passé.

On est donc en droit d’imaginer que de nombreuses espèces intermédiaires ont fait le lien entre les différentes espèces. Par exemple, si des reptiles sont devenus des oiseaux, il y a nécessairement eu un nombre considérable de créatures mi reptiles mi oiseaux aux organes incomplets à demi développés.

Ou des créatures mi poisson mi reptile auraient dû exister, ayant acquis certaines caractéristiques reptiliennes tout en conservant celles des poissons.

En outre, il devrait y avoir eu des millions voire des milliards de formes intermédiaires, plus que d’espèces existantes. Et naturellement, nous devrions avoir trouvé une multitude de fossiles de formes intermédiaires dans les strates rocheuses partout dans le monde.

darwin qualifiait ces créatures hypothétiques de formes transitoires. Il avait besoin pour appuyer sa théorie de trouver ce genre de fossiles intermédiaires.

Dans l’origine des espèces, il écrivit :

Afin de vérifier ma théorie, de nombreuses variétés intermédiaires, rattachant les espèces du même groupe, ont certainement existé. Par conséquent, la preuve de leur existence ne peut être trouvée que dans les fossiles.

Malheureusement pour darwin, aucun fossile de ce type ne fut trouvé.

Le paléontologiste évolutionniste, Mark Czarnecki, fit le commentaire suivant concernant l’échec des évolutionnistes à trouver les fossiles des formes de transition qu’ils recherchent :
« Un problème majeur pour prouver la théorie concerne les archives fossiles ; les empreintes d’espèces disparues conservées dans les formations géologiques de la Terre. Ces archives n’ont jamais révélé de traces des variantes intermédiaires hypothétiques de Darwin – au contraire, les espèces apparaissent et disparaissent soudainement, et cette anomalie a alimenté l’argument créationniste que chaque espèce a été créée par Dieu » Mark Czarnecki, The Revival of the Creationist Crusade, MacLean’s, 19 janvier 1981, p. 56.
100 millions de fossiles

Entre l’époque de darwin et aujourd’hui, 160 ans, environ 100 millions de fossiles appartenant à 250 mille espèces, répertorié par les scientifiques, ont été collectés. Pourtant, il n’existe aucune forme intermédiaire parmi eux.

Toutes les créatures vivant sur terre ont gardé les mêmes formes, structures et caractéristiques, dès l’instant où elles ont été créées pour la première fois.

De nombreuses formes de vie, qui sont apparues à des périodes géologiques même très éloignées, ont gardé leurs caractéristiques jusqu’à ce jour, sans subir le moindre changement.

Il n’existe aucune différence entre les créatures vivantes qui ont existé il y a des centaines de millions d’années et les spécimens vivants aujourd’hui.

Par exemple, les sauterelles actuelles sont en tout point identiques aux sauterelles qui ont existé il y a 120 millions d’années.

Les lézards actuels sont exactement identiques aux lézards datant d’il y a 242 millions d’années.

En bref, les êtres vivants actuels sont exactement identiques à ceux ayant existé il y a des millions d’années.
Ère cambrienne

Les espèces cambriennes sont apparues soudainement sans qu’on ne leur connaisse d’ancêtre.

Dans toutes les couches de fossiles postérieures à l’ère cambrienne, les espèces vivantes apparaissent toujours abruptement et sous une forme aboutie, qu’il s’agisse de poisson, d’amphibien, de reptile, d’oiseau ou de mammifère, tous déclinés sous des centaines de milliers d’espèces.

Un défenseur réputé de la théorie de l’évolution, le zoologiste anglais, Richard Dawkins, fait la confession suivante à ce sujet :

c’est comme si les espèces de l’ère cambrienne s’étaient plantées là, sans aucun historique d’évolution.

Cet élément remet avec certitude la théorie de l’évolution car darwin écrivit dans l’origine des espèces :

si plusieurs espèces appartenant aux mêmes familles ou genres, ont commencé à vivre d’un seul coup, cela serait fatal à la théorie de la descendance par modification progressive au moyen de la sélection naturelle.

La rupture fatale que darwin craignait provient de l’ère cambrienne au commencement précis de l’histoire des fossiles.

Les fossiles des strates de la période cambrienne remontant à environ 600 millions d’années démontrent à nouveau que des espèces vivantes extrêmement complexes sont apparues soudain sur terre sans aucun ancêtre. En d’autres termes, elles ont été créées.

Evolution de l’homme descendant du singe

Face à ces réalités concernant le monde des fossiles, les évolutionnistes se concentrèrent sur l’évolution de l’homme, descendant du singe.

A ce jour, on connait 600500 espèces de singes, pour la plupart éteintes.

Les crânes de ces singes disparus, petits et grands, constituèrent une grande source d’inspiration pour l’imagination des évolutionnistes.

En classant ces crânes du plus petit au plus grand, et en y ajoutant ceux de races humaines disparues, les évolutionnistes ont réussi à concocter le scénario de l’évolution humaine.

Le rôle le plus important est octroyé à l’espèce des australopithèques, dont le premier fossile fut découvert en 1924 par le paléontologue Raymond Dard.

Depuis, les évolutionnistes argumentent que cette espèce de singes dont le nom signifie le singe du sud est une créature humaine.

Hors, en comparant les squelettes des australopithèques et ceux des chimpanzés, on ne remarque pas de différence flagrante.

Les évolutionnistes émirent alors l’hypothèse que les australopithèques marchaient debout sur leurs deux pattes contrairement aux autres singes.

Malheureusement, deux anatomistes reconnus mondialement, lord Solly Zouckerman, et le professeur Charles Oxnard réfutèrent cette allégation.

Autrement dit, les évolutionnistes avançaient que l’australopithèque était l’ancêtre de l’homme alors qu’il ne s’agissait que d’une espèce de singe disparue.

Par ailleurs, les fossiles classifiés par les évolutionnistes dans les catégories Homo Erectus, Homo Ergaster ou Homo Sapiens sont en réalité différentes races humaines.

L’inspection de ces fossiles permet de voir que leurs squelettes sont les mêmes que ceux des hommes d’aujourd’hui.

Les quelques différences structurelles se situent au niveau du crâne.

Le paléontologiste évolutionniste Richard Leakey admet que la différence entre le crâne homo erectus et celui de l’homme moderne réside dans la race :

Ces différences ne sont pas plus prononcées que celles que nous trouvons actuellement entre les hommes des différentes zones géographiques.

Aujourd’hui : secteurs scientifiques concernés

Tous les secteurs scientifiques concernés : microbiologie, biomathématique, biologie cellulaire, biochimie, génétique, anatomie, physiologie, anthropologie et paléontologie ont apporté des preuves considérables réfutant la théorie de l’évolution.

L’Adn

A ce jour, même le laboratoire le plus sophistiqué n’a pu produire une seule cellule vivante à partir de matière inerte.

Il est aujourd’hui reconnu que c’est impossible. C’est pourquoi, les expériences allant dans ce sens ont-elles été abandonnées.

La biochimie moderne a parallèlement permis de révéler la structure très complexe de la molécule d’ADN.

Ces découvertes attribuées à deux scientifiques James Watson et Francis Crick en 1955 démontrent que la vie était bien plus compliquée que ce que l’on pouvait imaginer.

Francis Crick, également évolutionniste reconnu et couronné d’un prix Nobel pour ses recherches, confessa que la structure de l’Adn n’aurait jamais pu apparaitre par hasard.

L’Adn est une molécule géante existant dans le noyau de la cellule. Le moindre détail physique et physiologique d’un être vivant est codé dans cette double spirale. Toutes les informations nous concernant, de la couleur de nos yeux à la structure de nos organes internes en passant par les formes et les fonctions de nos cellules sont programmés dans les sections appelées gênes dans l’Adn.

Le code Adn est constitué d’une séquence de quatre bases différentes. Si on assimile chacune de ces bases à une lettre, on peut comparer l’Adn à une base de données composée d’un alphabet de quatre lettres, où toute l’information de l’être vivant est stockée.

Si nous tentions d’écrire l’information stockée dans l’Adn, il faudrait plusieurs millions de pages, soit quarante fois la taille de l’encyclopédie Britannica déjà conséquente en taille.

Or, cette masse d’informations est stockée dans un minuscule noyau d’un millième de millimètre.

Des calculs montrent qu’une chaîne d’Adn de la taille d’une cuillère à thé aurait la capacité de compiler le contenu de tous les livres jamais écrits.

Cette découverte a complètement bafoué la communauté athée, au point où certains de ses éminents penseurs se sont déclarés croyants en fin de compte, dans un article apparu en 2004 dans The Sunday Times intitulé : « désolé, après tout je crois en Dieu, affirme l’athée-en-chef » , Fred Hoyle, qui fut l’un des plus célèbres philosophes athées du 20ème siècle affirme ne plus se reconnaitre dans l’athéisme et explique que parmi les raisons de sa « conversion » figurait la molécule d’ADN, il affirme :
« Les recherches des biologistes sur l’ADN ont montré, par la complexité presque inconcevable des arrangements nécessaires pour produire [la vie], qu’une intelligence devait nécessairement être impliquée. »

Antony Flew et le lobby

Dans ce même article, Antony Flew, un des plus célèbres philosophe athées du 20 siècle reconnut son erreur à 81 ans, il affirma ce qui suit : « Je suis devenu persuadé qu’il est simplement hors de question que la première matière vivante ait évolué d’une matière inerte et se soit développée en une créature extraordinairement complexe. » Stuart Wavell et Will Iredale, « Sorry, says atheist-in-chief, I do believe in God after all », The Sunday Times, 12 décembre 2004.

De plus, la loi de l’entropie ruine la théorie de l’évolution darwinienne, cette dernière propose une idée tout à fait contraire : que l’univers irait en s’améliorant, en s’organisant mieux, elle prétend que les atomes désordonnés, dispersés et sans vie se sont spontanément rassemblés dans le temps dans un certain ordre et plan pour constituer des molécules extrêmement complexes telles que les protéines, l’ADN et l’ARN, puis pour constituer des millions d’espèces extrêmement complexes, ce processus est en contradiction totale avec les lois physiques. Les évolutionnistes sont conscients de l’impasse que présente cette loi pour l’évolution, scientifique évolutionniste Roger Lewin affirme dans un article paru dans la revue Science :
« Un problème que les biologistes ont affronté est la contradiction apparente de l’évolution avec la seconde loi de la thermodynamique. Les systèmes doivent se dégrader à travers le temps, donnant lieu à moins, pas davantage, d’ordre. » Roger Lewin, « A Downward Slope to Greater Diversity », Science, vol. 217, 24.9.1982, p. 1239
Dans une célèbre revue évolutionniste, American Scientist, un autre scientifique évolutionniste, George Stravropoulos, évoque l’impossibilité thermodynamique de la formation spontanée de la vie et l’impossibilité d’expliquer l’existence de mécanismes vivants complexes par des lois naturelles :
« Cependant dans des conditions ordinaires, aucune molécule organique complexe ne peut se constituer spontanément. Elle se désintégrera plutôt conformément à la seconde loi. En effet, plus elle est complexe plus instable elle devient, assurant ainsi sa désintégration tôt ou tard. La photosynthèse et tous les processus de la vie, y compris la vie elle-même, en dépit d’un langage confus ou délibérément trompeur, ne peuvent pas encore être compris en termes de thermodynamique ou de toute autre science exacte. » George P. Stravropoulos, « The Frontiers and Limits of Science », American Scientist, vol. 65, novembre-décembre 1977, p. 674
La loi de l’entropie implique que l’univers livré à lui-même n’aurait jamais atteint l’ordre actuel, ce qui nécessite l’existence d’une force extérieure à l’univers, une force qui a ordonné l’univers.

Il est certain qu’un jour, l’humanité se rendra compte comment un mythe comme celui de l’évolution a pu la tromper pendant si longtemps.

A ce titre, le scientifique scandinave Soren Lovtrup soutient :
« Je suppose que personne ne niera que c’est un grand malheur si une branche entière de la science s’abandonne à une fausse théorie. Mais c’est ce qui s’est passé en biologie : depuis longtemps maintenant les gens discutent de problèmes évolutionnistes avec un vocabulaire « darwinien » particulier – « l’adaptation », « la pression sélective », « la sélection naturelle » etc. – croyant ainsi qu’ils contribuent à l’explication d’événements naturels. Ils ne le font pas… Je crois qu’un jour le mythe darwinien sera classé comme étant la plus grande tromperie de l’histoire de la science. » Soren Lovtrup, Darwinism: The Refutation of A Myth, New York: Croom Helm, 1987, p. 422.

Extrait d’argile

Voici maintenant une autre version de la formation de l’homme, une version appuyée par la science, la version des musulmans quant à la création de l’homme :

Le corps humain,

Une structure parfaite, dont tous les détails n’ont pas encore été découverts.

Les scientifiques engagés dans la recherche, en utilisant des technologies avancées, ont obtenu des résultats étonnants concernant le corps humain.

Un de ces résultats concerne les tissus du corps.

Les tissus vivants contiennent 26 éléments différents.

Six d’entre eux sont les plus communs : le carbone, l’hydrogène, l’oxygène, l’azote, le phosphore et le soufre. Ces éléments fondamentaux représentent 95 % du contenu de ces tissus.

C’est une preuve scientifique importante par rapport à l’information révélée dans le Coran : la création de l’homme à partir d’argile.

Car les briques de base qui composent pratiquement tout le corps humain sont présentes dans le sol sous forme libre ou composée.

Le premier être humain a été créé par Dieu en façonnant de l’argile sous une forme humaine et en lui insufflant une âme.

Cet évènement miraculeux est décrit ainsi dans le Coran :

Nous avons certes créé l’Homme d’un extrait d’argile.

Le mot arabe : سلالة traduit par extrait dans le verset, signifie : essence, exemple représentatif.

L’information révélée dans le Coran il y a 1400 ans confirme ce que nous dit la science moderne :

Le fait que les mêmes éléments que l’on retrouve dans le sol sont employés dans la création de l’homme.
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