LE HASARD

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Le hasard

Face à l’évidence de la création, les athées ont recours à un seul concept : « le hasard ». En croyant que le pur hasard puisse produire de parfaites conceptions, les athées dépassent les limites de la raison et de la science, il semble même qu’ils entrent dans une sorte de dogmatisme vénérant le hasard :
« Le hasard devient u...ne sorte de providence, qui, sous le couvert de l’athéisme, n’est pas nommé, mais est secrètement vénéré. » Pierre-P Grassé, ancien président de l’Académie Française des Sciences, Evolution of Living Organisms, p.107.

Toutefois, l’invalidité de leur allégation se comprend aisément compte tenu de simples observations ainsi que des nouvelles découvertes et avancées scientifiques, la formation ne serait-ce que d’une minuscule protéine ne peut en aucun cas aboutir par hasard. Le professeur Ali Demirsoy, un des fervents défenseurs de la théorie de l’évolution en Turquie avoue que : « la formation aléatoire du cytochrome-C, une protéine essentielle à la survie, est aussi improbable que la rédaction sans erreurs d’un livre sur l’histoire de l’humanité par un singe grâce à une machine à écrire ». Ali Demirsoy, Kalitim ve Evrim (Hérédité et Evolution), Ankara: Meteksan Yayinlari, 1984, p. 64

De son côté, le fameux Fred Hoyle, mathématicien et astronome britannique, déclare :
« Il y a autant de chances que la vie ait émergé par hasard que de chances qu’une tornade balayant un entrepôt d’un chiffonnier ferrailleur assemble un Boeing 747 à partir des matériaux qui s’y trouvent. » Hoyle and Evolution, Nature, vol. 294, 12 novembre 1981, p. 105.

Le hasard qui ne peut même pas justifier l’apparition d’une minuscule protéine, ne pourra pas justifier non plus la complexité époustouflante des organes vivants, ni la haute sagesse dans les mécanismes de l’œil et du cerveau, ni l’ordre incroyable qui régit notre univers, ni l’existence de millions de créatures diversifiées, chaque créature en elle-même un phénomène impressionnant dans la conception…

Une simple cellule est beaucoup plus complexe que toute la ville de New York, avec tout ce qu’elle contient, ce fait est confirmé par Michael Denton, professeur de biologie dans son ouvrage intitulé Evolution: A Theory in Crisis (L’évolution : une théorie en crise): « Pour cerner la réalité de la vie comme elle a été dévoilée par la biologie moléculaire, nous devons agrandir la cellule un milliard de fois jusqu’à ce que son diamètre atteigne vingt kilomètres et ressemble à un énorme vaisseau spatial dont la taille peut couvrir une ville comme Londres ou New York. Nous verrons ainsi un objet d’une grande complexité. Sur la surface de la cellule, il existe des millions d’ouvertures comme celles qu’on trouve sur un grand vaisseau spatial. Elles s’ouvrent et se referment pour permettre un flot régulier de matériaux. Si on rentre dans ces ouvertures, nous verrons un monde d’une technologie suprême et d’une complexité qui laisse perplexe… Comment peut-on croire que des processus aléatoires aient pu construire une réalité dont les plus petits éléments – une protéine ou un gène – sont d’une complexité bien au-delà de la portée de nos capacités créatrices ? Cette réalité est l’antithèse même du hasard, elle dépasse de loin tout ce que l’intelligence humaine a produit ». Michael Denton, Evolution, une théorie en crise, Flammarion 1992, pp. 338, 352-353

L’existence d’un créateur est une évidence mathématique ! Pourquoi ? Parce que la probabilité que notre Univers complexe soit le fruit du hasard est égal à zéro ! Mais qu’est-ce qu’une probabilité ?
Une probabilité exprime la certitude qu’on peut avoir sur un événement précis, une probabilité 0 exprime un événement impossible à réaliser et une probabilité 1 : un événement certain.
Une probabilité 1 sur 103 signifie qu’il y a une chance sur 1000 que l’événement se réalise.
Une probabilité 1 sur 109 signifie qu’il y a une chance sur un milliard que l’événement se réalise.
Une probabilité 1 sur 1050 signifie qu’il y a une chance sur cent mille milliard de milliard de milliard de milliard de milliard que l’événement se réalise, La probabilité de 1 sur 1050 est considérée en mathématique comme égale à 0 et exprime ainsi un événement mathématiquement impossible.

Donc, 1050 est le seuil qui, une fois atteint, on peut considérer la probabilité comme égale à 0.
Prenons l’exemple du loto, la probabilité de trouver la bonne combinaison est de une sur 14 millions, soit de 1 sur 14 x 106, que l’on va arrondir à : 1 sur 108.

Cette probabilité est importante car elle servira de comparaison avec les différentes probabilités que vous allez visionner. Cela vous aidera à avoir un ordre d’idée pour la suite.
Protéines

Les protéines constituent les briques de base de toutes les cellules vivantes et elles assument un grand nombre de fonctions dans celles-ci. Les protéines sont constituées de molécules d’acides aminés arrangées selon une séquence particulière. Cette séquence est tellement précise que si un seul acide aminé manque ou n’est pas à la bonne place, alors la protéine entière ne servira à rien. Par conséquent, chaque acide aminé doit être exactement à la bonne place, dans la séquence correcte.
Or, il n’y aucune possibilité qu’une telle séquence survienne par hasard. Par exemple, la probabilité qu’apparaisse une protéine de 288 acides aminés de 12 types différents, ayant la bonne séquence, n’est que de 1 sur 10300, en d’autres mots, nulle.

En outre, une molécule de protéine de 288 acides aminés est plutôt petite en comparaison à des molécules géantes composées elles de milliers d’acides aminés. Lorsque l’on applique les mêmes calculs de probabilité à ces immenses molécules de protéines, nous remarquons que même le vocable « impossible » n’est pas adapté.

De plus, une protéine à elle seule ne veut rien dire, pour former une seule cellule rouge parmi les milliards des cellules rouges présentes dans notre corps, il faut 280 000 000 de molécules d’hémoglobine qui est une protéine vitale contenant 574 acides aminés.
Une cellule

Le bio physiciste Harold Morowitz de l’université de Yale fit le calcul des probabilités qu’une cellule vivante la plus simple vient à l’existence est de 1 sur 10340 000 000, ce nombre est complètement inconcevable et suffit pour enterrer entièrement toutes les théories des incultes et matérialistes. H.P. Yockey, « A Calculation of the Probability of Spontaneous Biogenesis by Information Theory, » J. Theoretical Biology, (1977), 67, pp.337-398 et H.J. Morowitz, Energy Flow in Biology (Academic Press, New York, 1968), p. 99. (Borél, Emile, Probabilities and Life (New York: Dover, 1962).
Une bactérie …

Robert Shapiro, un professeur de chimie à l’Université de New York et expert en matière d’ADN, a calculé la probabilité de la formation accidentelle de 2000 sortes de protéines trouvées dans une seule bactérie. (Il existe 200 000 différentes sortes de protéines dans une cellule humaine.)
Le nombre trouvé était supérieur à 1040 000, C’est un nombre incroyable obtenu en mettant 40 000 zéros à côté du 1.

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Conte : Qui a écrit l’ENCYCLOPEDIA BRITANNICA

Vous connaissez probablement l’ENCYCLOPEDIA BRITANNICA, connue pour être la plus grande encyclopédie au monde, elle contient 25 000 pages et contient des millions d’informations, vous avez certainement entendu dire qu’elle a été écrite par une centaine d’éditeurs et contient la contribution de milliers d’auteurs, mais ceci n’est pas vrai, l’encyclopedia britannica doit son existence au pur hasard, voici la vraie histoire de l’Encyclopedia britannica :
Il y a des millions d’années dans une forêt au sud de l’Angleterre, dans des conditions primitives, des tempêtes de pluie et d’orage se succédaient, le résultat était impressionnant, des millions d’années le vent et la pluie ont rassemblé différents éléments et ont – par pure coïncidence – formé ce que les êtres humains appellent : une machine à écrire.
Bien sûr, une machine à écrire n’est pas suffisante, alors le vent et les orages ont par une étonnante coïncidence coupé les arbres qui entourent la machine à écrire et pendant des millions d’années et grâce à des effets naturels se formèrent à partir du bois quelque chose qui ressemble à ce que les êtres humains appellent : papier chinois, au total 25 000 pages en papier ont été formées.
Bien sûr, et contrairement à ce que stipulent les lois de la physique, la machine à écrire et les 25 000 papiers ne se sont pas désintégrés, au contraire, elles restèrent intactes dans cette forêt qui sera baptisée plus tard : la forêt de Sherwood.

Vers l’an 1025, à peu près au même moment où Robin des bois faisait ses exploits dans cette foret, un petit singe retrouva cette machine à écrire ainsi que les 25 000 papiers.
Sans entrainement préalable, le singe mit le premier papier dans la machine à écrire, il commença à taper n’importe comment, et par un simple hasard ce qu’il avait tapé était une page en langue anglaise, claire et sans fautes de frappe, ni erreurs d’orthographes, le singe prit alors la deuxième feuille et encore une fois par un pur hasard, c’est un article scientifique sur l’ampoule électrique qui ressort.
De même le petit singe continua à écrire, page après page, le simple hasard fit qu’il écrivait sans aucune erreur, ni faute une énorme encyclopédie rassemblant des millions d’informations que le petit singe n’avait jamais apprises à l’école, un magnifique hasard a mis entre les mains de l’humanité ce qui sera baptisé plus tard ENCYCLOPEDIA BRITANNICA.
Robin des bois qui ne faisait que passer remarqua les 25 000 pages, les rassembla et les donna à un pauvre qui les vendit à son tour à un marchand, l’encyclopédie resta dans la maison du marchand plusieurs siècles jusqu’à sa découverte, ainsi le monde a vu naitre l’ENCYCLOPEDIA BRITANNICA.

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L’ADN

En lisant l’histoire sur l’apparition de l’encyclopédie britannica vous avez surement douté de l’intégrité mentale de celui qui l’a rédigée, cependant, beaucoup de gens croient à des histoires pareilles lorsqu’il s’agit de leur propre existence, en affirmant par exemple que la molécule d’ADN est apparue par hasard, ils ne font que reprendre l’histoire du petit singe et de l’encyclopédie britannica.
La molécule d’ADN est une molécule se trouvant dans le noyau de la cellule, ce dernier est beaucoup plus petit que la cellule microscopique qui l’abrite. Toutes les caractéristiques de l’Être humain sont emmagasinées dans cette minuscule molécule, ainsi l’ADN contient suffisamment d’informations pour emplir un million de page, ce qui signifie qu’une seule molécule d’ADN contient 40 fois plus d’informations que l’ENCYCLOPEDIA BRITANNICA.

Il y a 30 ans, le professeur Frank Salisbury, de l’Université de l’Utah (États-Unis), a calculé la probabilité de formation spontanée d’une molécule d’ADN simple, essentielle à l’apparition de la vie. Les calculs ont abouti à une probabilité si infime qu’elle est considérée comme mathématiquement impossible : la formation de cette molécule par réactions chimiques naturelles aurait pu se produire sur 100 milliards de milliards de planètes “ hospitalières ” au cours d’une période de quatre milliards d’années. Quelles sont les chances qu’une seule molécule d’ADN se soit formée dans ces conditions ? Selon ses calculs, une sur 10415.

L’ADN humain contient quelques 30 000 gènes, et il est impossible qu’un seul d’entre eux ait pu apparaître par hasard. Le biologiste évolutionniste Frank Salisbury admet :
« Une protéine moyenne peut comporter environ 300 acides aminés. Le gène de l’ADN contrôlant cela aura environ 1000 nucléotides dans sa chaîne. Puisqu’il y a quatre types de nucléotides dans une chaîne d’ADN, une chaîne constituée de 1000 liens peut exister sous 41000 (4 puissance 1000) formes. En utilisant un peu d’algèbre (les logarithmes), on peut voir que 41000 = 10600. 10 multiplié par lui-même 600 fois donne le chiffre 1 suivi de 600 zéros ! Ce nombre est complètement au-delà de notre compréhension. » (Frank B. Salisbury, « Doubts about the Modern Synthetic Theory of Evolution », American Biology Teacher, septembre 1971, p. 336).

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Vie à partir de matière inanimée

Un professeur de mathématiques appliquées et d’astronomie de University College (Cardiff, Pays de Galles), Chandra Wickramasinghe affirme :
« La probabilité que la vie ait pu se former à partir de matière inanimée correspond à un chiffre avec 40 000 zéros après le 1. Un chiffre assez grand pour enterrer Darwin et la totalité de la théorie de l’évolution. Il n’y a jamais eu de soupe primitive, ni sur cette planète ni sur une quelconque autre. Et si les débuts de la vie n’étaient pas dus au hasard, ils sont donc certainement le produit voulu d’une intelligence. »

Sir Fred Hoyle commente ces chiffres invraisemblables :
« En effet, une telle théorie (que la vie ait été créée par une intelligence) est tellement évidente que l’on se demande pourquoi elle n’est pas communément acceptée. Les raisons sont psychologiques plutôt que scientifiques. » Fred Hoyle, Chandra Wickramasinghe, Evolution from Space, New York, Simon & Schuster, 1984, p. 14.

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Le Big-Bang

Etudions maintenant le Big-Bang. Le Big-Bang n’était pas une explosion ordinaire comme on pourrait se l’imaginer, ce fut une explosion d’une extrême délicatesse, la température à chaque moment de l’explosion, le nombre de particules atomiques, les forces impliquées, ainsi que leur intensité, ont eu des valeurs extrêmement précises. Si, ne serait-ce qu’une seule de ces valeurs n’était pas précisée, l’Univers dans lequel nous vivons aujourd’hui ne se serait pas formé.
Roger Penrose, un célèbre mathématicien britannique a calculé la probabilité que notre environnement existe parmi tous les résultats possibles du Big-Bang, en incluant ce qu’il considère comme étant toutes les variables nécessaires pour que les êtres vivants puissent exister et vivre sur une planète telle que la nôtre.
D’après Penrose, la probabilité qu’une telle affirmation soit vraie es de l’ordre de 1 sur 1010(123), ce nombre est tellement infime qu’il est même difficile de concevoir ce qu’il signifie.

En mathématique, la valeur 10(123)revient à dire 1 suivi de 123 zéros. D’ailleurs, ce nombre à lui tout seul correspond à plus d’atomes qu’il existe dans l’univers tout entier (qui est de 1078). Mais la réponse de Penrose définit un champ encore plus large : 1 suivi de 10(123)de zéros, en d’autres termes il n’est même pas possible d’écrire ce nombre : Même si on est ramené à écrire un zéro sur tous les atomes de l’univers !
Roger Penrose fit un commentaire en ce qui concerne ce nombre :
« Ce nombre nous permet de prendre conscience de la finesse de la création (et du Créateur) qui a été conçue avec une précision de l’ordre de 1 sur 1010(123). C’est un chiffre extraordinaire. Il est d’ailleurs impossible d’écrire ce nombre en entier sous forme de notation ordinaire : Il serait constitué du nombre 1 suivi de 10(123) zéros. Ainsi, même si nous étions amenés à écrire un 0 sur chaque proton et neutron qui se trouvent dans tout l’univers et ceci en y ajoutant toutes les autres particules, nous serions à court pour écrire le nombre exigé. » Roger Penrose, The Emperor’s New Mind,1989 ; Michael Denton, Nature’s Destiny, New York : The Free Press, 1998, p. 9.

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Le temps

Un autre canular souvent utilisé par les athées est celui du temps, en se réfugiant dans des affirmations vagues tel que : « durant une longue période, tout devient possible » ou « pendant des milliards et des milliards d’années… », ils essaient ainsi d’induire les gens à l’erreur en leur faisant croire que le temps aurait un effet magique qui sortira leurs théories de toutes leurs impasses. Un simple examen de cette allégation sous différents angles permettra de discerner le bluff qu’elle essaie d’introduire dans les esprits :

- D’une part, la complexité dont il est question dans l’Univers dépasse ce que le temps pourrait apporter comme changements, même avec des milliards de milliards d’années, l’improbabilité de la formation hasardeuse des créatures reste inchangée, le simple exemple de la protéine suffit pour démontrer cela, l’affirmation évolutionniste soutenue par la communauté athée en ce qui concerne l’origine de la vie se présente ainsi : « dans un environnement terrestre primordial, un ensemble d’acides aminés se sont rassemblés pour former une protéine, de même plusieurs protéines furent formées, puis ces protéines se sont rassemblées pour former la première cellule vivante… » or il a été prouvé que la probabilité de constitution d’une seule protéine moyenne composée de 500 aminoacides est de 1/(10 950) , en d’autres termes la probabilité de formation d’une seule protéine moyenne est de : 1 sur un milliard de milliard de milliard de milliard de milliard de milliard…etc etc ………de milliard de milliard.
Cette probabilité est tellement petite qu’elle demeure inchangée quel que soit le temps passé : supposons par exemple que des réactions ont eu lieu pendant cent milliard d’années (l’âge de l’univers n’est estimé qu’à 13 milliards d’années) sur cent milliard de planètes à raison d’une réaction par seconde (disons qu’une année contient 32 millions de secondes) , par un simple calcul, le nombre total des réactions qui ont eu lieu seront approximativement de 100 milliard* 100 milliard * 32.millions = 32*104* 109 *109= 32*1022 qu’on va agrandir à 1024.
Quel effet ce chiffre 1024 aura sur la probabilité de la formation d’une protéine ? Il n’y aura pratiquement aucun effet, la probabilité augmentera seulement à (1/10926), en résumé : en se donnant 100 milliard d’années et 100 milliard de planètes, la probabilité de formation d’une minuscule protéine reste toujours égale à 0.
William Stokes, un géologue américain, admet ce fait dans son livre Essentials of Earth History et écrit que cette probabilité est si petite « qu’elle (la protéine) ne peut avoir lieu pendant des milliards d’années sur des milliards de planètes, chacune couverte d’un tapis de solution liquide concentrée d’acides aminés nécessaires ».
Notons qu’il ne s’agit que d’une seule protéine, le corps humain en contient des millions, de plus il n’existe sur la terre aucun mécanisme d’essai/erreur qui teste et reteste afin de fabriquer ces protéines.

- D’autre part et contrairement aux affirmations évolutionnistes, le temps est un facteur qui cause non pas l’organisation mais plutôt l’effondrement et la destruction des informations d’une organisation : une voiture laissée à l’abandon ne se transformera jamais avec le temps en un modèle plus développé. Bien au contraire, sa carrosserie rouillera, sa peinture se décollera, ses vitres se briseront et peu de temps après, cette voiture deviendra un tas de ferraille. Le même processus inévitable s’établit de façon plus rapide pour les molécules organiques et pour les êtres vivants. Il s’agit ici d’une simple loi de la physique thermodynamique, la loi de l’entropie qui stipule que : « tout système laissé à lui-même dans des conditions naturelles, évolue avec le temps vers une désorganisation, un désordre et finalement à une décomposition ».

- Les lois qui régissent notre Univers sont des lois définies et figées, ces lois ne subissent aucune modification au fil du temps, le petit d’une grenouille sera toujours une grenouille, et celui d’un lézard restera un lézard. Car les informations génétiques transmises sont propres au lézard et les causes naturelles n’entraîneront jamais aucun ajout d’information.

*
A vous de calculer

Tous les exemples cités plus haut sont des exemples très basiques malgré les chiffres inconcevables qu’ils nous procurent, si on souhaite avancer dans ce raisonnement, il va falloir se poser la même question sur toutes les composantes existant dans notre univers, par exemple on pourrait se poser des questions comme :
- Quelle est la probabilité de l’apparition de l’œil, encore plus sophistiqué que tout appareil inventé par l’homme ?
- Quelle est la probabilité de l’apparition de l’oreille ?
- Quelle est la probabilité de la formation d’une seule molécule rouge du sang humain ?
- Quelle est la probabilité de l’existence hasardeuse de la femme ?
- Quelle est la probabilité qu’il existe hasardeusement un mécanisme d’attraction (amour) entre l’homme et la femme ?

- Quelle est la probabilité que la première protéine (si on suppose même son existence hasardeuse) ait résistée à tous les effets naturels en attendant la formation hasardeuse d’une autre protéine, et ainsi de suite jusqu’à la formation hasardeuse d’une cellule ? Et quelle est la probabilité de la formation hasardeuse de cette cellule ?
- Quelle est la probabilité de l’apparition des couleurs ? Quel est la probabilité de l’apparition du goût ?
Etc.
Ce genre de questions pourra s’enchainer à l’infini, car devant chaque créature, devant chaque nouvelle découverte de la science naturelle : la sagesse du Créateur éclate et la magnitude de ses exploits apparait même aux plus incultes d’entre nous, c’est ainsi que l’athéisme est démasqué, l’athéisme ne peut plus se proclamer de la raison ni de la science car il est réfractaire à la raison et à la science.

Dieu dit :

« Et dans votre propre création, et dans ce qu’Il dissémine comme animaux, il y a des signes pour des gens qui croient avec certitude ».

En voyant ce château de sable, un athée pensera immédiatement qu’il s’agit d’une œuvre d’art, cependant il maintient une attitude complètement opposée devant l’évidence de la création, pourtant plus évidente qu’un simple château de sable.

Dans une étude parue dans la revue Le Cosmos de l’année 1893, le professeur Mominia écrivit, concernant l’existence de Dieu :
« Si nous supposons, en raisonnant par l’absurde, que l’univers a pris existence sans l’intervention d’un Être capable d’agir, doué de volonté et libre de choisir ; et si nous supposons que les hasards répétés sont parvenus à faire un homme, est-il pensable que ces mêmes hasards créent un autre être lui ressemblant parfaitement dans sa forme apparente et différent de lui dans sa conformation interne : à savoir la femme, et ce dans le but de peupler la terre par les humains et d’en perpétuer l’espèce ? ! » [ Source : René Descartes, Discours et Méthodes, p 504 ].
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